J’éprouve le sentiment du vieillissement, mais un à espoir très grand subsiste,lié au désir de l’œuvre et à cette coulée secrète du bonheur qui, à travers les fatigues,les déceptions, se glissent en moi par la joie du langage.
Henri BAUCHAU
Heureux les fêlés car ils laissent passer la lumière Audiard…Hélas, il y en a peu en Belgique